Aide publique au développement : un soutien renforcé aux pays les plus vulnérables.
Nous avons adopté les crédits en hausse de la mission « Aide publique au développement » qui avait depuis 2010, subi une diminution de 45% des crédits qui lui étaient dédiés. Cette situation est désormais révolue, avec un budget qui sera porté à six milliards d’euros d’ici 2022 soit 0,55% du RNB.
Les pays les plus fragiles doivent être soutenus et la France est une nation solidaire qui prend ses responsabilités pour faire face à des défis globaux : réchauffement climatique, terrorisme, problématiques de santé publique. Notre majorité augmentera tout au long du quinquennat le budget dédié à l’aide publique au développement.
L’utilisation de l’aide publique au développement s’articulera autour de trois priorités : l’éducation pour lutter contre l’obscurantisme, la santé pour combattre les pandémies, notamment en Afrique Subsaharienne, et le climat car de nombreux pays pauvres sont exposés aux effets du réchauffement climatique.
Le soutien des différents projets se fera via l’Agence Française de Développement, mais aussi via les ONG et la société civile.
Avec ce budget revalorisé, les députés de la majorité LaREM inscrivent la France dans une politique de soutien ambitieuse et volontariste envers les pays les plus pauvres. Un travail sur l’efficacité de l’APD sera mené avec plusieurs objectifs : plus de dons et moins de prêts, une augmentation des aides bilatérales, une intensification des liens avec les acteurs de terrain.